Chapitre 1 - Chapitre 2 - Chapitre 3 - Chapitre 4 - Chapitre 5 - Chapitre 6 - Chapitre 7 - Chapitre 8 - Chapitre 9 Vous
pouvez aussi télécharger le roman zippé et sous Word 2000 : Télécharger Vacances mouvementées. Préface : Voilà,
je fais un préface. Il n'est pas nécessaire, mais je trouve que ca aide le
lecteur à mieux cerner les personnages. Je vais donc revenir sur le
commencement. Ce pseudo-roman à été, commencé le 4 Juillet pour être finit
le 29. Pour ce qui me connaissent et qui ont lu sois "destruction on collège",
ou "la vielle zorro", savent quel est mon plus gros défaut : ne pas
trouver de nom pour mes personnages. Mon second défaut, ce de ne pas finir mes
romans. Je doit noter que peux de personne on put lire les deux romans précédemment
cités. Il faut savoir que je n'écris pas directement sur l'ordinateur comme
certains, mais je préfère d'abord écrire à la main. Pourquoi ? Peut être
parce que je trouve rien à écrire devant l'écran. J'espère que mon discours
ne paraît pas trop prétentieux. Il faut également laisser le droit au roman
de s'écrire tous seul. Lorsque j'ai commencé à écrire, j'ai tout de suite
pensé à la première personne. Cette façon d'écrire permet surtout de mieux
retranscrire les impression, mais d'un autre coté, ce langage focalise
trop l'action sur le "je". L'autre problème, c'est qu'en utilisant la
première personne, les personnes ont tendance à confondre l'auteur et le
personnage principale. Voilà, j'admet que dans ce roman, il y est des brides de
vrais actions. De tous les prénoms, je peux vous dire que Maya est une fille
purement fictive. Quoique en pense certains, elle fut inventée de toutes parts.
Je ne peut pas trop la déduire de peur que certaines personnes fassent des
amalgames avec des personnes de mon entourage. De tous les prénoms seul ce lui
de Lucas devait rester. A l'origine du moins, je devais le laisser car Lucas est
une des personnes les plus simples et conviviales qui m'a été donné de
rencontrer. De plus le rôle est fait sur mesure. Lucas de plus d'être un ami,
est un confident, une personne à qui on peut faire confiance. Bref un vrai ami
qui ne vous trahit pas, pour son avantage. De plus il est avant tout un être
humain qui sait comprendre et nous aidé. Je dois dire que ce roman lui est en
parti dédié. Alors Lucas, je t'en prie, ne m'en veut pas si ton personnage te
trouve étrange. Voilà, bonne lecture, mais avant un petit résumé. Alain
partage sa vie avec Maya, une fille qu'il connaît depuis quelques mois. Daniel
est le meilleur copain de Alain, mais il à tendance à changer de fille comme
de jeans. Oui pas de chemise, mais de Jeans en rapport à leur complicité et à
la nécessité de parler codé.. Chapitre I : au bord du fleuve. 1) Le jour se lève. Les ténèbres cèdent
leurs places à leurs contraires. Des larmes séchées sur mes joues réfléchissent
la lumière de l'aube. Sont-elles des larmes de joie où de tristesse ? je n'en
sais trop rien. Tellement de chose se sont passées. Moi je suis là, assis sur
l'herbe à quelque mètres de la Loire. En face de moi, sur l'autre rive se
trouve un village encore désert. A ma droite, emmitouflée dans nos duvets,
dors la personne qui vient de passer un cap dans sa vie. Je me lève et
m'approche du fleuve. Je me regarde dedans et l'image qu'il me renvoie n'est guère
réjouissante : mes cheveux sont en pagaille, j'ai des cernes et le beurre noir
de mon œil droit est plus prononcé qu'avant. Les oiseaux paillent. Ma
compagne, Maya, se retourne dans son sommeil, et en repoussant l'un des duvets,
je me rappelle qu'elle est encore nue et que moi je suis en caleçon. Au fait l'œil,
avant quoi ? Avant que nous ne commettions l'acte charnel ? je ne sais plus.
Comment avons-nous pus en arriver là ? Mais comment ? Je m'assois auprès de
Maya. Alors que le soleil se lève, moi Alain Kantu fils de Steve et de Maria,
âgé depuis trois mois de quinze ans je me remémore les circonstances de ce
qui nous a fait perdre notre virginité, à elle et à moi. 2) Déjà l'année dernière, nous avions
organisé une fête de fin d'année. Cette année, nous avions plus de raison de
faire la fête : c'était la fin de la 3eme, la fin du
collège, on était plus sur de tous se revoir et nous avions passé le Brevet.
Cette année, ce fut Daniel et Lilou qui s'occupèrent de (presque) tout. Quand
je pense qu'en d'autres circonstances Lilou aurait put être à la place de
Maya. Daniel, bien qu'ayant un an de moins que moi, me dépasse en taille. Au début,
il y a quatre ans, il était tout à fait correct. Maintenant, depuis qu'il a fréquenté
de mauvaises personnes, il fume et à l'occasion boit. Il m'appelle
"Papa" mais je sais que si une crise éclatait, il saurait y faire
face aussi bien que moi sinon mieux. Il sort avec Susan qui est une gentille
fille bien qu'elle soit du genre tranquille, gentille, mais on reste poli. Quant
à Lilou, qui fut un temps la MMA de Daniel, je l'aimais, elle m'a dit non et
maintenant cela m'est égal, car j'ai Maya. Elle essaye de se montrer
autoritaire mais bon ce n'est pas vraiment cela... Comme dirait mon ami Pierre,
elle a des goûts de chiottes au niveau des gars. Pourquoi ne voulait elle pas
sortir avec Boris ? Je n'en savais rien. Quand je suis arrivé, je me posais des
questions. Bon bref, tout devais se dérouler de la meilleure façon possible. Chapitre II : Retour à la fête. 1) Quand je suis arrivé, un peu à
l'avance, au lieu de rendez-vous, je me suis aperçu de deux choses : 1)
Il n'y avait presque personnes. 2)
Les chiottes sont trop loin de la salle... Donc quand j'ai débarqué, il n'y
avait que Daniel, Stéphanie et Hélène. Ces deux dernières, sont très sympa
mais elles ont tendance de trop lever le coude.... 2) Ce qui se passa entre 17 et 19 heure
n'a aucune importance vis-à-vis de la suite de l'histoire. 3) Donc nous voici à 19 heure et les
premiers invités arrivent. C'est bizarre, je les connais mais pas assez pour
les apprécié à leur juste valeur. Vers 19H15, les ennuis commencèrent :
Arnold se ramena avec deux bouteilles de Rhum et de Vodka plus une de Whisky.
Heureusement pour nous, il ne les ouvrit pas de suite. Avec l'arrivée de Maya
qui fit enfin son apparition à 19h30, Lucas et moi ouvrions les festivités en
offrant à Lilou le livre : "Nos pires fêtes foireuses". Ce moment-là
restera gravé dans ma mémoire comme une scène d'anthologie dans un film :
Lucas, et son sens de la vie, à ma gauche et face aux spots et à l'entrée,
Lucas souriait, devant moi Lilou riait, dans la partie gauche de la salle se
tenait un groupe de neuf ou dix personnes au milieu duquel Boris racontait ses
aventures en scooter, pardon, en Booster. Au milieu de la salle, Daniel et sa
petite amie se bécotait, à ma droite, Nicolas essayait de raconter une blague
aux autres, à mon extrême droite, il y avait Stéphanie, Arnold et Hélène et
en léger retrait derrière Lilou, se tenaient Ema et Maya qui discutaient de je
ne sais quoi avec Guillaume. Cet instant ne dura qu'un laps de temps infime,
puis la vie reprit son cours. Comme elle le fait tout le temps. Arnold ouvrit
les bouteilles et certaines personnes, comme des charognards, se précipitèrent
dessus. Résultat : une bouteille de Rhum en moins. Pour ma part, je ne bus
qu'un fond de verre. Mais d'autres comme Stéphanie, Hélène, Guillaume, Seb,
et bien sûr Arnold étaient bien partis pour se réveiller le lendemain
matin... Le fait est qu'une fois les bouteilles vides et lui plein, Arnold
invita Hélène à aller dans la forêt. Ils étaient tellement raides qu'ils
faillirent faire une belle connerie, mais grâce à l'intervention de Daniel et
de Stéphanie qui était d'ailleurs, ceci dit en passant, complètement défoncée,
on évita la catastrophe. 4) Vers minuit, Guillaume après trois
verres et une danse un peu trop rapproché de Susan au goût de certain eu le
droit du poing gauche de Daniel sur sa joue droite. En temps normal, je me
serais interposé, mais il faut dire qu'il avait tendance à tourner un peu trop
près des filles prises... Ce coup de poing salvateur à de nombreux égards,
risquait d'être la première étape d'un long chemin qui risque de réduire à
néant tout ce que nous avons crée depuis la 6eme
: un climat où se mêlent confiance et amitié. Après avoir rendu leur
dîner à maintes reprises, Stéphanie et les autres "Raides" s'étaient
enfin endormis. Quant à moi, je somnolais ou plutôt comatais sur l'épaule de
Lucas, enfin c'est ce que je croyais : en fait, c'était un genou qui vint me
rappeler à l'ordre vis-à-vis de ma bien aimée Maya. Alors que j'allais nous
trouver un coin douillet pour elle et moi. Il était environ 0H45 et la pleine
lune donnait à la cour une apparence de Ranch d'un Western abandonné, je me
trouvais à peu près au centre de la cour centrale lorsque Clarisse s'approcha
de moi et me dit qu'elle vous me parler. Je me rappelle parfaitement notre
dialogue : "- (elle) : Tu sais, ça me fait
mal de te voir avec cette fille... - (Moi) : Pourquoi ? - (elle) : Parce que c'est qu'une
salope et qu'on ne la connaît que depuis cinq mois. - (moi) : c'est bizarre, moi aussi
quand je suis arrivé, il y presque six ans, je me suis fait traité de tous les
noms. C'est un rituel chez vous ? - (elle) : Ce n'est pas la vérité. La
vérité s'est que je t'aime et que je désirais... - (moi) : S'il te plaît ne
(re)commence pas. On n'est pas fait l'un pour l'autre et je suis déjà pris. - (elle) : Oui, mais avec moi en quatre
mois, je t'aurais fait toutes les positions. - (moi) : Ecoute, la tu m'embêtes et
tu me fais mal en parlant de chose qui ne te regarde pas..." Je ne pus dire un mot de plus, elle
s'approcha et m'embrassa. Elle essaya même de fourrer sa langue dans ma bouche,
je le sais, car je sens encore le contact entre mes dents et sa langue. Cela ne
dura qu'une fraction de seconde, le temps que je la repousse. En tournant la tête
vers le pas de la porte, je vis que Maya s'y tenait, était-elle là depuis le début
? Je ne le pense pas. La première chose que fis Clarisse une fois que j'eus
finit de la repousser ce fut de me gifler et ensuite de crier : "espèce de
porc ! ne t'avise plus de m'embrasser !." ensuite, elle partit en courant.
Moi je restais là hébété par la tournure que prenais les événements. Maya
s'approcha de moi et avant que je ne puisse dire un seul mot elle examina la
forme de la main qui était maintenant imprégnée sur ma joue droite. La marque
ne devait pas être assez visible à son goût, car elle me décocha un coup de
poing, aussi violent que prévisible, sur l'œil droit ce qui me fit tomber à
la renverse. On ne dirait pas là maintenant qu'elle est entrain de dormir sous
les duvets que cette fille à un caractère d'Amazone, d'ailleurs je devrais lui demander
si elle croit en la réincarnation... 5) J'étais donc étendu par terre, laissé
en plan par peut-être ma futur ex petite amie. J'observais les étoiles, plus
précisément celle d'Orion en me rappelant ma rencontre avec Maya et comment
j'avais changé de voyage scolaire au dernier moment pour être avec elle.
Pourtant à bien regarder elle n'a rien de différent par rapport aux filles de
son âge, elle brune avec un joli petit nez et puis... C'est à ce moment-là
qu'une main se tendit et pris la mienne et m'aida à me remettre sur pied. Cette
main est celle de Daniel, Contrairement à moi où j'ai mes deux marques sur le
même côté su visage, lui il en a aussi deux mais une sur chaque joie. On se
parle dans une semie-obscurité , et j'apprends qu'il s'est mangé une baffe par
Lilou à cause du coup qu'il a porté à Guillaume, et une autre par son amie
Susan, car il ne voulait pas danser avec elle. Au moins, je n'étais
plus seul par contre, nous étions deux êtres humain sans leur moitié. Chapitre III : Retour (dans le passé) aux bords du
fleuve. 1) Une fois debout, et surtout une fois
ayant repris mes esprits, je cherchais Maya du regard, ensuite, ne la trouvant
pas, je demandai a d'autres personnes s'il savait où elle était passée, ce
fut Boris qui me donna la réponse : elle était aux bords de Loire (Lieu où je
suis au moment où je vous parle). Pourtant en réfléchissant, je trouve que
c'est normal qu'elle soit allée là-bas : c'est lieu de notre première
rencontre, il y a maintenant un peu plus de quatre mois. 2) Pour aller aux bords de Loire, je pris mon sac à
dos contenant mon duvet et d'autres affaires. M'y rendant derrière Boris et
sur son fidèle destrier, le Booster Spirit de MBK. En m'amenant il me fit la
conversation, il me parla de ses déboires et aussi et surtout de Lilou. Une
fois arrivé à moins de cinquante mètres du lieu. Il me déposa et m'offrit un
préservatif en disant :"on ne sait jamais". Je ne lui fis pas avaler
pour trois raisons : 1)
Je n'avais pas envie de m'embrouiller avec lui après tout ce qu'il a fait pour
moi. 2)
J'avais envie de voir Maya 3)
Il a raison, on ne sait jamais. 3) je trouvais Maya assise sur un tronc
d'arbre, pas un mais LE troc d'arbre, entrain de contempler la Loire et un léger
effet de lumière, dut aux réverbères, à la lune et je ne sais quelle magie,
mais elle avait l'air vraiment belle et j'étais tout à sa disposition pour
enterrer la hache de guerre. 4) Quand je me planta devant elle, elle me
fixa droit dans les yeux et me demanda : "Tu m'aimes ?" J'aurais voulu
lui dire un truc bien réfléchit et posé mais je ne fus capable que de
prononcer le mot "oui". Je ne sais pas à quoi je m'attendais, mais
une chose est sur je ne m'attendait pas à ce qu'elle allait me dire. Sans
transition, elle m'annonça qu'il y avait deux ans, elle vu quelque chose dont
elle n'avait pas le droit de me parler, mais une chose est certaine, cela l'a
marquée à jamais. Elle pleurait, et moi malgré tous mes efforts pour rester
humbles, je sentis
bientôt des larmes me parcourir les joues. Elle m'annonça ensuite qu'elle s'était
éprise de moi, car contrairement à la plupart des personnes de
la gent Masculine, je n'étais pas avide de contact physique, même
si des fois elle trouvait que j'étais vraiment trop loin d'elle. Comme je ne
sus quoi répondre, je fis la seule chose qui semblait s'imposer, l'embrasser à
pleine bouche. Elle me susurra à l'oreille : "je te veux et
maintenant", tout en disant cela, elle prit la main et la posa sur sein
gauche dont je sentis
le téton se durcir... 5) Ce qui se passa ensuite ne vous regarde
pas. Maintenant, il doit être aux alentours de 5H30 du matin, il commence à
faire jour, et c'est à ce moment du récit que Maya se réveille. Chapitre IV : De nouveau à la fête. 1) C'est bizarre, je pensais que la première
fois où je ferais l'amour, j'aurais envie d'en parler avec Daniel. Mais là je
n'avais ni l'envie ni le besoin d'en discuter avec lui. Je me demandais comment
là-haut à la ferme comment ils avaient vécu/survécu/cuvé/dormi la nuit
(c'est selon les cas !) Maya et moi tous les deux, main dans la main, et après
un petit décrassage et s'être Rhabillés, nous avons pris le chemin de la
ferme où se déroulait la fête. Après une bonne marche d'une bonne quinzaine
de minutes, nous sommes en fin arrivés à la ferme. 2) Donc une fois arrivé à la ferme à près
un léger baiser, Maya et moi on se sépara, elle alla voir Lilou qui, si mes
yeux ne trompaient pas, tenait la main de Boris dans la sienne. Quant à moi, je
fis rapidement le compte : 15 personnes sur 20 dormait. Je me mis en quête de
mon ami Daniel, comme je ne le trouvais nul part, je revînt auprès de ma MMA
(Maya Mon Amour.). Une fois à leur hauteur je demandai si quelqu'un savait où
Daniel et Susan étaient partis. Ce fut Lucas qui me répondit : "ils sont
partis se balader après votre départ." Bin, ma fois cela faisait plus de
trois heures que nous étions partis. Encore une fois ils s'étaient réconciliés
aussi vite qu'ils s'étaient fachés. En
partant à leur recherche, je vis Clarisse qui dormait avec Seb.... 3) Nous avions enfin découvert où ils étaient
partis : au même endroit que Arnold et Hélène, c'est-à-dire dans les bois... Après avoir cherché un peu où ils étaient,
nous avons aperçu une forme blanche. Plus on s'en approchait, plus le contour
devenait net : cette forme n'était rien d'autre qu'un soutien gorges. Maya
s'approcha de moi et me demanda si je pensais qu'ils avaient croqués dans la
pomme. Je répondis en disant juste que je pensais qu'ils n'étaient sans doute
aussi innocents que lorsque nous les avions quittés. Plus on s'approchait du
lieu où ils dormaient, et moins je respirais. La première chose que je vis, ce
fut Daniel au-dessus de deux duvets et qui était à poil, ensuite, à sa
gauche, Susan prise en sandwich entre les deux duvets. Je ne trouvais qu'une
seule chose à dire : "Tu devrais te couvrir, tu vas
attraper froid" Maya me regarda avec un air mi-iritée, mi-amusée. Daniel
sans ouvrir les yeux me dit : "Arrête tes conneries, mon pull
me tient chaud. -(Maya prit la parole en regardant
l'arbuste où gisait le pull) C'est sur, l'Arbuste doit avoir chaud, mais par
contre au niveau de la photosynthèse, c'est pas ça...." Peut-être se rendit t'il compte de la
situation, peut-être qu'il venait de réaliser où et dans quel état il était,
mais une chose est sure, c'est qu'il se fourra prestement sous les duvets. Une
fois à coté de sa dulcinée, il gueula : " Non mais c'est quoi çà ?
Vous pourriez prévenir lorsque vous partez !" Puis, une fois bien réveillé,
il se tourna vers Susan et lui susurra des mots à l'oreille, chose qui la fit gémir
de plaisir. Je pris la parole et demanda si j'avais loupé des trucs. Il
m'apprit comment Boris avait en fin put sortir avec Lilou :" Guillaume sort
avec Ema, ce qui laisse seul Seb qui s'amourache de Clarisse; et au bout du
compte, Lilou se rend (enfin) compte que Boris avait toujours
été là durant les coups durs qu'elle dut traverser. Quand à nous....,Il ne put
s'empêcher de sourire, on était venu -d'un accord commun- ici pour faire ce
que tu penses. Mais on a eu un problème. (Maya ) : Lequel ? (Daniel) : Bon, on a commencé par ce
que l'on pourrait nommer de "préliminaires" mais au moment de passer
à l'Acte, Je me suis aperçu que j'avais filer ma dernière capote à Boris.
Donc il était or de question de continuer.... Va savoir ce qu'il en a
fait..." Je ne pus m'empêcher de regarder Maya.
Elle souriait. Non, elle rayonnait, et ce fut elle qui lâcha la réponse :
"Il nous la filé, et nous en avons fait bon usage." Daniel voulut que
je lui raconte. Je lui répondis que je n'en avais pas envie. Il encaissa le
coup, malgré une légère frustration visible. Susan, enfin réveillée, me
demanda comment j'avais rencontré Maya. Là, je fus plus enclin
à répondre, cependant pour le raconter, j'exigeais quelques conditions :
qu'ils s'habillent, et que l'on fasse un feu de camp autour duquel je m'assiérais
pour conter notre histoire, à maya et à moi, et une dernière, que le ne
m'interrompre jamais. (Bon je sais un feu de camp à six heures du mat', mais
bon à chacun son truc.) 4) Une fois disposés selon mes
conditions, autour du feu avec le jour qui se lève et les oiseaux qui chantent,
j'allais commencer mon récit lorsque je dis : "Tout ce que je vais dire,
devra rester entre nous, et ne pas être divulgués " Comme ils disent "oui" à
l'unisson, je commençais. Au début, j'avais peur de ne pas trouver les bons
mots, mais finalement, ils me virent facilement, presque naturellement. Chapitre V : A la rencontre de Maya 1) "Comme vous le savez tous, je n'ai
pas toujours vécu dans le Loir et Cher. Je suis né et j'ai vécu mes neuf
premières année dans la Seine et Marne. Lorsque j'ai débarqué ici en 1994,
je compris au bout de quelque jour, que pour s'intégrer, il ne faut pas aller
voir les gens, il faut qu'il vienne à vous. Donc, le premier mois, j'étais
seul, sans connaissance, ou presque. Et j'ai pris l'habitude de venir au bord de
Loire, car j'avais remarqué que rien au presque ne peut altérer l'harmonie qui
y règne. Donc pendant mon temps libre, j'allais me reposer, où me distraire là-bas.
Je ne sais pas combien de temps j'y restais, mais une chose est sur, c'est que
j'aime toujours être allongé sur l'herbe où assis sur le tronc d'arbre à écouter
la nature ou les oiseaux. Ce que j'appréciais le plus, c'était le fait qu'il
n'y avait jamais personne. 2) Et un jour, Le dimanche 14 février
pour être exact, à près m'être pris un râteau par Lilou, je pensais me
ressourcer à mon endroit préféré, et lorsque je vis qu'il y avait du monde
pour la première fois depuis plus de 5 ans ! Je reste indécis, puis lâche un
"fait chier" et m'apprêtais à repartir lorsqu'une voix forte mais
douce m'interpelle en disant : "hé vous ne partez pas !". je ne sais
pas pourquoi, mais je suis resté. Je m'approchais pesant trouver un SDF qui
allait me demander de l'argent où à un dealer. Mais à la place, je trouvais
une fille de ma taille avec les cheveux brin et des yeux d'un marron exquis. 3) La première chose qu'elle me dit fut :
"Vous n'avez pas honte de dire des grossièretés dans ce lieu ?". J'étais
là hébété devant cette fille que je n'avais jamais vue, et je ne trouvais
rien à dire à part : "hein...?". Et elle me répondit : "Bin
voui, on ne devrait pas dire de grossièreté dans un lieu pareil." Malgré
tous mes efforts pour rester sérieux, je ne pus m'empêcher de lui éclater de
rire au nez, car je repensais à tout ce que j'avais dans cet endroit. Elle me
regarda puis éclata de rire à son tour. Une fois mon et son fou rires passés,
je lui demandai de bien vouloir me laisser ma place. Elle me rétorqua qu'il y
n'avait pas de nom marqué sur l'arbre. Je répondis que si, il y avait marqué
mes initiales AK qui veulent dire Alain Kantu. Elle me répondit qu'elle pensait
que AK voulait dire Attention Killer. Nouveaux fous rire. 4) Ensuite elle se présentait, Maya
Guinam. Quelques flocons de neige se mirent à tomber du ciel et virent se
mettre dans sa chevelure. Nous étions immobiles à un mètre cinquante l'un de
l'autre, elle assise moi debout. On s'observait sans rien dire ; sa montre
sonna. Il était l'heure pour elle de partir. En partant, il me semble qu'elle
m'effleura la joie de ses lèvres. Je restai une bonne demi-heure à rêvasser
et à repenser à cette Maya, quelle drôle de prénoms, c'est jolis et
original; bref, j'adore. Il me tardait de la revoir. Et j'allais la revoir plus
vite que je ne le pensais : elle avait emménagé à deux rue de chez moi, et
mon père travaillait avec le sien, mais ça je ne le savais pas encore. Alors
je ne vous dit la surprise, lorsque je rentrât chez moi de voir Maya au milieu
de ses parents, Gilles et Ana, discuter avec mes parents. J'étais assailli par
des sentiments partagés entre la peur et l'envie. J'avais vraiment l'impression
de voir une fille pour la première fois depuis Lilou. Ce que je pensais,
malheureusement, se confirmait : ce n'était pas de l'amour que j'éprouvais
pour Lilou, mais plutôt une sorte de fixation.... 5) Maya et ses parents ne restèrent pas
longtemps. Au dîner, mon père me dit : "la petite Maya, elle est pas mal,
hein ?" et ma sœur au tac au tac : "Bien sur, il est libre puisque
Lilou lui a dit non...." Le soir, un dimanche, qui normalement
m'aurai vu les deux mains en dessous les draps et un mouchoir sur ma table de
chevet, je ne fis que de penser à elle, à notre rencontre, je crois que au
moment où je me suis endormi, je pensais à la couleur de ses yeux. 6) Je me doutais qu'elle prendrait le même
texte que moi et que Boris. Mais étant donne que l'on était en semaine A, je
finissais à 14h30, et de ce fait, j'allais en Scooter au bahut. La première
personne que je vis ce fut Seb : "Bonjour, camarade, allez vous
bien , (moi) : - Da, camarade, seulement,
cette chaleur me rappelle le goulag ! (lui) : Ah au fait, nous avons une
nouvelle camarade.. (moi, vaguement intéressé) :
Ah, oui , (lui) : da, elle a pour nom Guinam, et
son prénom commence par M, mais toi qui connais tout, tu vas me dire comment
elle se prénomme. (moi) : elle s'appelle Maya....." Il va sans dire que c'était mon époque
"communiste"; ce qui est à toi est à moi et vice-versa, nous devions
donc partager tout ce que nous avions. Cet état de grâce ne devait pas
perdurer plus d'un moins car je ne voulait, et ne veux toujours pas, partager
Maya. La sonnerie sonna, celle qui nous faisait entrer en première heure de
cours, celle de 8h10. Mais pas de trace de Maya. A 8h19 pour être précis, la
principale adjointe et Mlle Guinam. Cette dernière se présenta , et tout le
monde la regarda. Je ne me souviens pas de la couleur de ses vêtements : j'étais
noyé dans ses yeux. Elle vint s'installer deux rangés à gauche de Daniel et
moi, et une rangée devant.( Il était d'ailleurs impossible de s'asseoir derrière
nous, à moins de casser le mur...) 7) La première fois où je mangeai avec
elle, ce fut le jour même; je mangeais avec Lucas et Ben. (Il faut dire qu'à
la table de Daniel, de Boris, et des autres squattait un gars avec qui le
courant passait mal et qui maintenant, ne passe plus. Elle était seule à
table, je l'invitais à rompre le pain avec nous. Elle accepta. Ben et Lucas ne
jetèrent qu'un regard superficiel à cette fille, car l'un avait sa flamme, et
l'autre son inconnue.( Il ne faut pas chercher à les comprendre...). Lucas,
d'un signe de tête me désigna l'assiette de Maya. Quand je vis ce qu'il y
avait à voire, je me leva et déclarai que même une nouvelle venue ne voulait
pas manger de la viande du self, et que rien que du regard, elle avait compris
les risques qu'elle pouvait prendre en la mangeant, ce qui prouve que... Hein
?... quoi !?... Ah, tu es végétarienne... Je me rassis donc au milieu des
rires de mes compagnons et des sourires particulièrement étranges des pions.
Bah, je n'écopais que de six jours à faire le service au self : nettoyer les
tables vider les pichets.... Chapitre VI : la fin de la fête 1) Autour de moi, agonisaient, les dernières
flammes de notre petit feu. Maya avait la tête posée sur mes genoux, et de la
main gauche, je lui tripotais les cheveux. Susan et Daniel étaient blottis l'un
contre l'autre, à la façon des oiseaux qui essayent de vaincre le froid.
Maintenant, on y voyait clair, un coq chanta la venu du jour. Finalement, ce fut
Susan qui rompit le silence en me demandant la date à laquelle nous commençâmes
à sortir ensemble. Je lui répondis que c'était le 13 Mars; je l'avais invitée,
comme vous tous, à mon anniversaire, on dansait un slow, et vers le milieu,
elle me demanda si je voulais bien passer un moment de ma vie avec elle. Je lui
dis que j'en serait ravi. Nous avons finis le slow en nous embrassant. 2) C'est fous ce que cela me paraît loin,
je désirais la faire jouir, mais finalement, je me ressaisit car ce n'était
l'endroit ni l'heure de le faire.( Les hormones peuvent être ires que les
drogues !?) Chapitre : parenthèses
de l'auteur contre son gré... 1) Si le japonais, Evangelion, la détresse
d'un auteur sans ses copains, et de ses états d'âmes et de ses purs délires
qui ne veulent rien dire, eh bien si tout cela ne vous intéresse pas, vous
pouvez aller au chapitre suivant. Pour les autres, préparez-vous à me
supporter... Donc, je poursuis : je vous donc la
prendre, et la faire jouir. Mais finalement, je me suis ressaisit car je voulais
me tourner "Hane ga eru koto". (Pour ceux qui ne pratiquent pas le
japonais, comme moi, cela veut dire "vers un avenir très lointain.). c'est
chiant hein...? Alors voici une autre phrase en Japonais, quand je suis arrivé
à la fête, j'ai dit à Daniel : "Shônen yo, shinwa ni nare ", ce
qui veut dire : toi le jeune homme tu deviendras un mythe." C'est lourd.
Hein? Mais ce n'est pas de MA faute, je voulais couper, mais Caslu veut tout;
donc on lui donne tout. Alors, je continue. Pour ceux qui sont encore là, voici la
suite : Ces paroles en Japonais sont extraites
de la musique d'ouverture de "Néon Genesis Evangelion." (NGE pour les
intimes.) Courage, on arrive au bout... C'est grâce à cette série que j'ai
fait une citation : je suis moi par les actions que j'entreprends et non par
celles que me fait subir les autres." OK, on revient (enfin) au récit. Chapitre VI : Le début de la fin. 1) La fête finie, nous étions tous
repartis chez nous. Mais nous devions nous revoir avant de partir en vacances.
Il faut comme même avouer que la fête n'était pas mal, mais il y avait pas
mal de têtes que je ne connaissaient pas. C'est pourquoi nous n'étions que
sept, huit en comptant la caméra de Lucas. Il y avait moi et Maya, Daniel et
Susan et oups..., On était en fait neuf, j'avais oublié le Booster de Boris,
autant pour moi, et donc Boris et Lilou. On avait établi notre camp au beau
milieu de la forêt, un peu comme dans "Blair Witch Project". On avait
quatre tentes pour sept humains, une caméra et un Booster. Boris, dont la
pudeur ne le gênait pas, décréta que les garçons dormiraient dans certaines
tentes, et les filles dans d'autres tentes. Le pauvre faillit se faire lyncher,
car on voulait profiter du fait d'être loin des parents, pour faire des choses
qu'en autres lieux nous ne ferions pas autrement. Bien entendu, tout le monde
pensait cela, enfin presque, mais personne ne le dit à voix haute. 2) De toute façon, cela ne servait à
rien, de monter les tentes puisque le premier soir, nous n'allions pas, où peu
dormir. Cette fois la réunion allait durer plus longtemps : 3 jours et deux
nuits. Simplement, nous avions changé d'endroit : d'une ferme, nous étions
passés à une forêt. 3) La première journée, on ne fit que de
parler devant l'œil de la camera de Lucas. Pendant la majorité de l'après-midi,
puisque nous avons pour ainsi dire débarqué à 15h00, a été couverte par
d'assez gros nuages gris. Pour le lendemain, nous avions envisagé d'aller
jusqu'à l'étang qui se trouve au milieu de la forêt. D'ailleurs, le choix de
l'étang est simple : il paraît qu'en 1943, un couple Juif préféra se noyer
dans ses eaux plutôt que de se faire prendre par la Gestapo. Aussi, le choix n'était
pas innocent : les filles avaient leur histoire Romantique, les gars, leur
action, et Lucas des plans superbes à tourner. Il faut avouer que le Lac
s'inscrit dans un cadre majestueux. 4) Après avoir eu l'honneur de préparer
le dîner, des steaks et des pommes de terres bouillies, après avoir monté les
tentes, après que le soleil se fut coucher, après et seulement après que nous
ayons décidé de nous coucher, alors je put enfin étreindre Maya dans mes
bras. En fait, seulement la seconde fois que je dormais avec Maya, enfin dans
quelque chose qui ressemble à un lit. La première fois où elle partagea ma
couche, ce fut lorsque mes parents partirent, avec ma sœur en Bretagne. Cette
nuit-là, nous avions fait que parler, de tout et de rien. Juste parler, jusqu'à
ce que le sommeil nous séparât. Maintenant, Maya était couchée sur le flanc
droit, moi j'étais derrière elle, mes bras passés autour de sa taille, je
respirais l'odeur de ses cheveux, son odeur corporel était toujours la même
que le jour de notre rencontre. Nous discutions un peu de nous, un peu des
autres. Au bout d'un moment, je sentis qu'elle était en passe de me dire
quelque chose. Cette chose, était une chose intime. Lorsqu'elle me l'annonça,
je ne pus m'empêcher de pouffer de rire : " Et si Lucas te film au moment
où tu as ton orgasme ? je crois que ce n'est pas le moment." Elle me répondit, en touchant
en-dessous de la ceinture : "Il faut que te croie toi, où ce que tu as
en-dessous de la ceinture ?" 5) Quelque minute et quelque gâteries
plus tard, j'entendis Maya qui prenait un rythme de respiration qui indiquait
qu'elle glissait vers le monde des rêves. Quand à moi, je ne trouvais pas le
chemin pour ce monde. Donc j'allai prendre l'air. Autour de moi, la forêt était
silencieuse. Il faisait noir. Il restait encore quelque cendres qui agonisaient
à l'endroit où l'on avait fait un feu. Les tentes, pour une raison que
j'ignore, étaient rangées en ligne. De gauche à droite, on pouvait trouver
celle de ma bien aimée, qui est aussi la mienne, celle de Boris et Lilou, celle
de Susan et de Daniel, et enfin celle de Lucas et de sa caméra. Après avoir
fait un 180° avec mes yeux pour vraiment avoir une vision de notre camp, je
regardais celle de Boris. Ce que je vis, me fis rire. C'est à ce moment qu'une
main se posa sur mon épaule. Grâce au vent et à la nicotine, je savais
d'avance à qui elle appartenait : mon pote Daniel 6) "(lui) : Qu'est ce qui te fait
rire ? (moi) :
ah, eh bien, sois il s'agit d'un mauvais jeu d'ombre, sois ils sont
entrain de faire des choses pas très catholiques.... (lui, il ne peut s'empêcher de
sourire) : je pense qu'il s'agit de la seconde solution. (moi) : je le pense aussi. (lui) : il aurait pu éteindre la lampe
! (moi) : .... (lui) : en tout cas, moi et Susie, on
avait éteint les lampes... (moi) : tu connais Boris, il ne peut
ouvrir une porte dans le noir avec ses mains, alors avec son sexe.... (lui) : surtout qu'il ne l'utilise pas
tous les jours. (moi) : Ashimara. (lui en approuvant) : Ashimara." 7) Puis, ce que je redoutais arriva : ils
explosèrent, ce fut d'abord Lilou puis Boris. Maya m'avait mordu le biceps
droit pour s'empêcher de crier. Dans la seconde qui suivit, le reste de la
troupe était à notre côté : Lucas avec sa caméra, armé d'une cassette où
figurait un X, Maya tout comme Susan, arriva en sous vêtements. Ce fut à ce
moment que Daniel enchaîna : "pas mal ton petit caleçon à petits
nounours", et je lui répondis : "parce qu'un caleçon avec les power
Rangers, c'est mieux?, au fait les filles, vous n'allez pas attraper froid
?" au final, seulement Lucas était habillé. Enfin, convenablement
quoi.... Je pense que les personnes qui étaient sous leur tentes et qui ont
entendu le cri, on du penser qu'il se déroulait un assassinat ou un truc du
genre. C'est qu'au début du mois de Juillet,
il fait un peu chaud sous les tentes, il faut donc mieux prendre ses aises.... Chapitre VII : Première nuit et journée dans la
forêt. 1) Le reste de la nuit ne se passa sans
problèmes majeurs, à part un hibou qui faisait un peu trop de bruit à mon goût
et des oiseaux qui piaillèrent trop tôt le matin. Le lendemain, nous étions
presque tous frais et dispos, enfin le presque se résume à Lucas : Certains ne
voulurent pas dormir, et d'autres ne voulaient pas. Quand à moi, je ne dormi
que deux heures au creux de la poitrine de ma chère Maya. Mais on était entre
copains et c'était l'essentiel. 2) Puisque nous n'étions pas tous en un
état de fraîcheur exceptionnelle, nous décidâmes de déjeuner sur place. On
prit le chemin du Lac vers 15h00. Je sais, c'est tard, mais il fallait que Boris
laisse son Booster chez Ben qui habitait la ville avoisinante. Le Lac était
situé à environ 10 Km de notre campement. Donc, vers 15h00 on commençait à
partir lorsque je dis : (je sais, c'est un vilain défaut de vouloir toujours
donner des ordres, mais je ne peut m'en empêcher...) "Il faudrait faire des groupes :
un qui transporte les tentes, un qui transporte la nourriture, en fin voilà
quoi.... (Daniel) : bon, écouter papa,
d'ailleurs, c'est lui qui va nous guider dans cette forêt. (moi) : ne m'appelle pas Papa ! (Daniel) : pas de problème mon général
! (moi)
: bon, O.K., je m'occupe de la navigation, mais tout bon général à
besoin d'un Colonel, non ? Alors colonel Durand magné votre cul !! (lui) en faisant un garde à vous :
chef! Oui, chef!" Eclat de rire général. "(moi) : bon sérieusement, moi et
DD (Daniel Durand) on s'occupe de la navigation, et de tout ce qui n'est pas
vital, les filles vous transportée la bouffe, Lucas tu prends le matériel et
ta toile de tente, et Boris tu t'occupes des toiles de tentes restantes. 3) Et son mis donc en marche. Pendant le
voyage, il ne se passa rien de particulier. Il faut juste que nous arrivâmes un
peu plus tard que les prévision de Boris : 18h00 à la place de 17h00. C'était
à prévoir vu la personne qui nous dirigeais. 4) Nous arrivions donc à 18h. Il fallut
encore trouver un endroit pour dresser notre camp, c'est pour cela que l'on se sépara,
afin de trouver le meilleur endroit possible. En effet, cela avait vraiment
l'air d'un camp : 4 tantes autour d'un feux. On s'est éloigné du Lac pour
plusieurs raison : 1) A
cause, des bêtes et des insectes qui viennent s'abreuver au lac. 2) Les
moustiques y prolifèrent. 3) On
ne sait jamais sur qui on peut tomber. 4) Il
y avait Jules. 5) Jules était, soi disant, un ami du
couples qui s'était qui c'est suicidé et il paraît qu'il sais où se trouve
le médaillon qu'ils ont caché avant de mettre fin à leurs jours. A ce que
l'on sait, il n'aurait plus de famille, vit seul dans sa maison mais il n'est
pas dangereux. Mais par contre, il ne faut pas le vexer : Thomas, un gars qui
n'habite pas trop loin de chez Ben, peut en témoigner : En février dernier, il
avait essayé de faire du patin à glace sur le lac qui était gelé et il s'est
fait choper par le père Jules,(on ne sait même pas son nom de famille...) ce
dernier lui a dit qu'il devrait avoir honte, que ce Lac était comme une tombe
qu'il était entrain de profaner. Thomas, en bon petit branleur de son genre,
dut répondre de travers car sa fesse gauche à encore la marque du plomb de la
carabine de Jules. En fait Jules n'était pas un vieux bougre, et n'était méchant,
encore moins dangereux, mais il faut le caresser dans le sens du poil. 6) Voilà
à quoi je pensais lorsque Maya vint me rejoindre. Elle venait pour me dire que
le dîner était près. Enfin si on peut appeler cela un dîner : omelette aux
lardon et aux coquilles faite par Boris. Il va sans dire que Boris ne fait pas
le poids, au niveau cuisine, par rapport aux cordons bleus que sont Susan et
Lucas. Même avec moi il ne peut supporter la comparaison : c'est dire ! Au
moment où Maya allait partir, je lui dit : " (moi) : tu crois que c'est bien ce que
l'in fait , (elle) : D'avoir des rapports ? Je
pense que dans un sens oui. (moi) : Mais on a seulement 15 ans ! (elle) : oui, mais toi, dans ta tête,
t'es plus mûr que certains gars de 18 ans. (moi) : je sais, mais au fond, je ne
connais pas tout sur toi. (elle) : Je t'aime, mais il y a des
choses qu'il ne faut pas que tu sache pour l'instant" Et c'est comme çà qu'elle parle Maya.
C'est bizarre, des fois, elle parle d'une façon indifférente, on a beau lui
poser des questions, son visage ne trahit aucune émotion, et sa voix ne se
charge d'aucune intonation. Nous mangeâmes, après ce léger repas, on discuta
un peu, puis nous allâmes sous les tentes en même temps que le soleil se
coucha. Nous pensions à notre "mission" de demain. 7) Je rêvais de quelque chose, je ne sais
plus de quoi, mais je rêvais. Cela devait faire trois où quatre que je dormais
lorsque je sentit qu'il y avait quelque qui me disait de me réveiller. Un peu
comme une sirène d'alarme. J'ouvris les yeux. Maya dormait tranquillement. Je
ne sais pas pourquoi, mais je savais qu'il fallait faire le moins de bruit
possible. Heureusement, il y avait un orage pas trop loin de notre camp.
J'ouvris la fermeture de la tente en même temps que le tonnerre grondait. Je
mis mes chaussures sans respirer. Je savais que quelque chose ne tournait pas
rond. J'avais froid, pas à cause de la température, mais plutôt à cause de
l'excitation que cette situation provoquait. Toujours à moitié à l'intérieur
de la tente, je regardais le ciel : pas de lune, enfin si, mais derrière un
nuage. Je rampais donc jusqu'à l'arbre le plus prés. Une fois sur mes jambes,
j'entreprit de regarder toutes les tentes . En face de moi, celle où Maya
dormait. A sa gauche, celle de Boris, encore à gauche, celle de Daniel. Tout a
l'air plus au moins normal. Enfin presque car je viens de voir une ombre qui est
agenouillé auprès d'une autre. Je ne réfléchit pas et gueule un truc du
genre : "On ne bouge plus". L'ombre agenouillée se mit à courir. Je
me mit à courir après elle. Heureusement pour moi, elle prit un sentier assez
fréquenté. Je gagnais du terrain, lorsque j'entendit le bruit d'un morceau de
bois sec que l'on fracasse. Un morceau de bois que l'on fracasse sur un crâne,
sur le mien en l'occurrence. Au même moment, ma vision fit une rotations 90°
vers le haut et, en regardant les étoiles, je pense : "ils sont
deux." Ensuite, le trou noir. Chapitre VIII : Du rêve au cauchemar. 1) Quand je repris mes esprit, je n'était
plus sur l'humus de la forêt, mais dans un lit. Aurais-je donc rêvé ? Que
s'est t il passé ? Où suis je ? Voilà à quoi je pensais en regardant le
plafond. En suite mon regard se déplaça sur la pièce qui m'entourait : à
part ce lit, un tableau, un miroir une fenêtre, et un lavabo, il n'y avait rien
d'autre. Je me leva. J'allais me regarder dans la glace, Je n'étais vraiment
pas beau à voir. J'ouvrit le robinet du lavabo et m'aspergeais le visage de
l'eau qui en coulât. Bon, que c'était il passé ? j'ai aperçu une silhouette
à côté d'une autre, je lui ai couru après. Au bout de je ne sais au bout de
combien de mètres, 100 ? 200 ?, je reçus un coups sur la tête qui me m'y K.O.
Vu que les oiseaux ne faisait pas encore trop de bruit, il devait être 4 où 5
heure du matin. 2) Jules entra dans la chambre. Il me
regarda, sourit puis me dit : " - petit, çà va ? (moi) : je ne sais pas encore, mais je
sais que je vais mieux. (lui) : J'en suis enchanté. (moi) : merci Monsieur, mais vous ne
pourriez pas me rafraîchir la mémoire ? Je me suis évanoui, et ensuite que
c'est il passé ? (lui) : vers 2 heure du matin, on a
frappé à la porte, tu étais sur le seuil et il n'y avait personne aux
alentours. (moi) : je vous remercie pour tout ce
que vous avez fait, mais je voudrait rejoindre mes amis (lui) : pas de problème, mais je
t'accompagne." Je regardais ma montre; elle affichait
5h30. Quoi? Il était déjà aussi tard ! Et les autres, avait t ils remarqués
ma "disparition" ? avaient ils étaient fait prisonnier par ces ombres
? Jules me fixa et me dit : "petit, quand tu as fini de rêvasser on se met
en route." 3) Tout le long du chemin, Jules ne prononça
pas un mot, il marchait derrière moi. C'est seulement arrivé en vue du
campement que Jules posant sa main ridé sur mon épaule gauche me dit quelque
chose : " Petit, je t'aime bien, mais toi et tes copains et tes copains faîtes
attention. Je suis au courant de ce que vous voulez faire, c'est très noble.
Mais vous n'êtes pas les seuls personnes qui s'intéressent à ce médaillon.
Restez sur vos gardes, je ne serai pas toujours là pour vous protéger."
Il dit cela avec gravité, et d'une voix tellement grave que je me demandais
comment ses cordes vocales pouvaient la produire. "Bon maintenant, je te
laisse. Au fait, il ne te manque rien?" Bin à vrai dire non, j'avais mon
portefeuille, mes clés, tout quoi. Voici à peu près ce que je lui dit. Il se
retourna et commençais à marcher et je dis : "merci monsieur." Il me
répondit qu'il n'y avait pas de quoi, que ce que recherchais se trouvais au
pied de l'arbre torturé. Il disparut au tournant du sentier. 4) Quand j'arrivais au camp, je ne vis
personne au premier coup d'œil. Je m'approcha encore. C'est là que je les vis,
à coté du feu, entrain de dormir. Je m'approcha de lui par derrière. Une fois
ma bouche à moins de dix centimètres de son oreille, je gueula : "Colonel
Durand vous faites une piètre sentinelle !" Il sursauta, me regarda comme
si c'était là première fois de sa vie qu'il me voyait, et me dit : " Tiens, t'es là ... (moi) : bin... oui. (lui) : c'est bien, tu sais que tu as
de la chance ? (moi) : pourquoi ?! (lui) : quand tu as disparu, je voulait
appeler les flics et ta copine a simplement dit : "pas de police." (moi) : et... (lui) : elle est partie à ta
recherche. (moi) : et ensuite, ... (lui) : on a trouvé une lettre. Tu te
rends compte ? ta meuf préfères te chercher toi que d'appeler les flics ! La
mienne, elle m'appelle et ensuite va chercher les flics. (moi) : jaloux ? (lui) : ... (moi) : tu sais, elle te connaît, et
puis un braconneur cela peut survivre dans une forêt.... (lui) : Un braconneur ? (moi) : bin... tu sais certains disent
que tu braconne les filles. (lui) : ouais, mais la chasse est fermée
et je n'est plus de balles... (moi) : T'es vide. (lui) : Je suis sur les rotules. (moi) : fait gaffe de ne pas abîmer
ton jean, il est précieux. (lui) : aussi agréable à l'intérieur
qu'à l'extérieur... (moi) : Alors, qu'avait il sur la
lettre ? (lui) : il faut en discuter avec les
autres..." Aussi tôt dit, presque aussi tôt fait
: il faut laisser le temps aux autres de se réveiller. Une fois tout le monde
à peu près réveiller et assis autour du feu, je sais, c'est une habitude chez
moi, je me mis à parler. Je racontait tout en détail. Et j'insistait sur le
fait que Joseph avait certainement averti Jules de notre "mission", de
façon à que celui ci ne nous cherche pas de problème. Notre
"mission" était simple : Joseph qui est le fils du couple qui c'est
suicidé nous a demandé de retrouver le médaillon. Nous avions accepté, à la
condition qu'il nous amène dans le pays où il vit depuis plus de cinquante ans
: les USA. Finalement on revint à la lettre. C'était Maya qui l'avait rencontré.
Elle me la donna, en voici le contenu : " Mes
chers amis, Il
y a peu de temps, vous m'avez évité de me faire virer et je vous en remercie,
mais depuis ce jour là, je pense que j'ai une dette envers vous. Je suis
entrain de la payer. Je serai comme un ange gardien pendant vos recherche, mais
il ne faut pas que vous essayer de me retrouver.
Lionel. P.S.
J'ai transporté Alain chez Jules, ne vous en faîtes pas." Daniel m'expliqua qu'ils avaient suivi
ce message à la lettre, et que maintenant que j'était revenu, c'était
impeccable. C'est alors que je demandais qui étaient ces ombres. On répondit
que celle qui fouillait, il ne le savait pas, mais on me dis en revanche qui était
fouillé, c'était Lucas. Lucas qui ne dit rien. En le regardant
bien, on voyait qu'il avait une bosse. Mais ce n'était pas tout car il avait
une espèce de lueur bizarre qui brillait dans ses yeux. Puis le temps passa et
l'on déjeuna et pris l'initiative de faire une sieste, histoire de bien
recharger nos batteries, mais cette sieste ne devait pas excéder une heure. Au
bout d'une demi-heure, je suis allé sous la tente de Lucas. 5) (moi) : ca va ta tête ? (lui) : Couci-couça . (moi) : il y a quelque chose qui te
tracasse ? (lui) : Oui.... (moi) : il te manque rien ? (lui) : Une cassette vidéo. (moi en riant) : c'est çà qui te
tracasse ? Mais une cassette, ce n'est pas trop personnel, je me dire c'est pas
comme une photos de famille, tu te fais du souci pou rien. (lui) : c'est la x (moi qui ai arrêté de rire) : Tu veux
dire celle de Boris et Mel sous la tente ? (lui embarrassé) : Oui et il y a aussi
des plans où on dit nos noms et numéros de portable... (moi) :
Merde.... (lui) : il faut le dire aux autres ? (moi) : si c'est nécessaire, où si
cela s'avère nécessaire, mais jusqu'à cette éventualité, on en parle à
personne. (lui) : OK. (moi) : Ca va aller ? et au fait ta
flamme, elle brûle toujours ? (Lui) : nan, c'était juste une
fixation." Je sortis et rejoignit Maya sous notre
tante. "(elle) : çà va ? (moi) : oui. (elle) : ... (moi) : ... (elle) : .... (moi) : Tu trouves normal que Lucas ne
sorte pas avec une fille ? Moi cela me paraît étrange... (elle) : Il trouvera quelqu'un quand il
le voudra, comme je t'ai trouvée. (moi) : Comme je t'ai trouvé moi,
c'est moi qui suis venu, toi tu y était déjà." Elle me sourit, on s'embrassa puis on
pris part à la sieste collective. 6) Un cri nous réveilla, une demi-heure
s'était écoulée, on sortit de la tante et l'on vit les autres autour de
Daniel. "Je... Je sais....Je sais où il est !" hurlait Daniel. Depuis
qu'il a arrêté de fumer, il est comme une central Nucléaire..." tu as
trouvés quoi ?" demandait Lilou. Il lui jeta un regard comme si c'était
la première fois qu'il la voyait, puis il nous regarda et nous dit qu'il avait
trouvé l'arbre torturé. Le temps de ranger les tantes, de tout ranger, nous étions
prêt à partir. Juste avant de nous mettre en route, je chercha Lucas des yeux,
il me cherchait également. Je lui sourit, il me répondit par un sourire qui était
trop vrai pour en être un. Pauvre Lucas, c'est sur il doit se sentir coupable :
un inconnu a une bande où on parle de nous, de nos famille, où des filles sont
en petite tenue. Chapitre IX : Disparition du médaillon. 1) Nous suivîmes donc Daniel le long du
sentier qui doit nous mener à "l'arbre torturé". Chemin faisant, je
pense à Lionel. 2) Lionel était arrivé dans notre classe
peu avant Maya : La rentrée de Janvier contre celle de Février. Il va sans
dire qu'il arriva dans notre classe car il s'était fait viré de son ancien
bahut, que cela ne tienne, il arrive et il faut le prendre sans ses antécédents.
Sans préjugés. Or une certaine prof de Maths, paix à son âme, avait des préjugés
où plutôt plus que des préjugés, des certitudes. Elle était sur qu'il
allait recommencer car il l'avait déjà fait. Il va sans dire qu'au moindre
problème, c'était de sa faute. C'était en sorte son bouc émissaire. Mais pas
le nôtre. Lionel s'était très bien intégré et tout le monde l'aimait bien,
où du moins l'appréciait, hormis cette prof. Un jour, l'accident éclata. Un
jour elle "l'engueula" (on ne peut pas dire qu'elle le disputait car
ce serait un gros euphémisme..). Il répondit. Il répondit en disant
que ce n'était pas lui qui parlait. Elle lui passa un savon. Il dit
qu'il en avait marre de ses conneries ( faisons un bref calcul : 4 heure de
Maths par semaine, à chaque heure, elle lui fait deux à trois réprimantes, ce
qui fait plus de dix poussées de gueulante par semaine...). Elle lui dit
qu'elle allait lui mettre deux avertissements (avec trois on est viré, le problème
c'est qu'il en avait déjà un...). Là Daniel a essayé d'intervenir. Sans succès.
J'essaya aussi d'intervenir, j'étais délégué, elle me dit : "toi la
ferme." Là Daniel et moi on s'est regardé puis on s'est levé. Les autres
de la classe se levèrent à leurs tours. Je dis : "Vous vous trompez,
c'est nous qui parlions", à quoi Daniel ajouta : "Vous ne pouvez pas
lui mettre d'avertissement." Ces déclarations furent suivie par des
murmures d'approbations. La prof nous regarda sans comprendre puis déclara que
puisqu'il en était ainsi, que ceux qui voulait sortir pouvait. Boris pris la
parole : " Madame, je ne voudrait pas dire,
mais sur un cours d'une heure avec vous, on passe dix minutes à s'installer et
à ranger, on fait vingt minutes de cours, puis trente minutes où vous vous
acharnée contre Lionel, dans ces conditions, je préfère sortir".
Plusieurs "moi aussi" fusèrent. Finalement, il ne restait plus que
Olivier dans la classe. Il ne léchait pas, il dormait et n'avait même pas
suivit les événements. Son emploi du temps à lui était le suivant : quinze
minutes pour sortir ses affaires, trente-cinq minutes de sieste, et cinq minutes
de rangement. Cette scène se passa le vendredi. Le lundi, il n'y avait aucune
sanction contre les 3e1 et la prof fit des cours de 5/50, c'est à
dire cinq minutes consacré à la sortie des affaires, et cinquante minutes de
cours. 2) Voilà à quoi je pensais lorsque maya
pris ma main dans la sienne. "(elle) : A quoi tu penses ? (moi) : A Lionel, tu ne trouves pas
bizarre qu'il soit ici. (elle) : Non, il fait du camping par
ici, et puis il était à la réunion avec nous (moi) : c'est vrai..." Après une quinzaine de minutes de
marches, nous sommes arrivés dans une clairière où se dressait un menhir.
Daniel décidât qu'il fallait s'arrêter pour souffler, ce que nous fîmes sans
renâcler. Je m'asseyais sur un gros rocher. Je pris vraiment conscience de ce
lieux, c'est vrai qu'un menhir au milieu d'une clairière et entouré d'arbre
c'est beau. Très beau même. Daniel prit la parole et dit que l'on approchait
du but. Ensuite il se tourna vers Lucas, lui fit un hochement de tête. Ce
dernier ce mit à filmer. Daniel face à la caméra, avec en arrière plan nous
autres et le menhir, commença son speech : "Nous sommes ici dans la clairière
du menhir. Non loin de ce lieu se dresse un arbre où serait enterré le fameux
médaillon. Ce fameux médaillon dont l'existence à été très controversée,
mais d'après Mr Levy, le fils du couple, il existerait et en voici une
photographie datant de 1941. Ce médaillon serait en or presque massif et ornée
de diamants..." Cela se voit peut être, se sent ou
s'entend, mais Daniel à presque tout d'un futur journaliste. Alors qu'il parle
à la caméra, je repense à notre "mission" qui est composée de deux
parties : faire un documentaire sur ce bijou et essayer de le retrouver.
J'entends au loin Daniel qui fait la biographie de Louise et de son compagnon
qui ont préférés se noyé que d'être déporté. Je reçois une goutte de
pluie. Puis une autre, et encore une autre, puis d'autre qui sont de moins en
moins espacées. Je repense à ma discussion avec Lucas. Enfin lorsque je réalise
qu'il pleut averse, je crie : "aux abris". Ensuite, je regarde autour
de moi. Tout seul. Tout seul, assis sur un rocher, au milieu d'une clairière où
est dressé un menhir en son milieu. Je regarde à ma droite, à la lisière de
la forêt. Mes compagnons y sont. Ils regardent dans ma direction, mais ne me
regarde pas moi, mais derrière moi. Je me retourne, et sans réfléchir, je
prend mon sac et je me mets à courir. Je ne voudrait pas comprendre, mais j'ai
compris que les ombres sont revenues. Je sais aussi qu'elles me suivent en
courant car à la lisière, il ne reste que Daniel. Daniel qui cri. Je ne
comprends pas ce qu'il cri. Une fois arrivé à sa hauteur, il se met aussi à
courir et je le suit le long d'un sentier qui est plus qu'à moitié envahit par
les herbes. Il fait presque noir, et je commence à ne plus voir grand chose. Je
ne voit plus Daniel. Je passe devant une butte, deux main m'agrippent et me font
sortir du sentier. Je me retourne et je vois Lionel.
Lionel sans sa gaieté et avec son index sur sa bouche et qui fait signe de le
suivre. Je le suis et il m'amène dans une grotte qui se situe non loin du lac.
Mais cette grotte, je ne la connaissait pas, et, comme je n'en est pas entendu
parler en six ans, je pense que peu de personnes la connaît. 3) Mais bon on est à l'abri, et tout le
monde est là. Tout le Monde ? Non, il manque Lucas. Comme je viens de
m'apercevoir de ce fait, et veux ressortir de cette grotte, mais une main s'abat
sur mon épaule gauche. Je me retourne et je regarde le propriétaire de cette
main. Elle appartient à Daniel dont le regard est plus que triste.. Trop
triste. Son regard se détourna de moi et alla se poser sur un coin de la grotte
que je ne pouvais voire car il s'avérait que cette grotte était plus une mine
qu'autre chose. Je me dirige vers l'endroit où s'est posé le regard de Daniel.
Allongé sur un duvet, Lucas sourit. Mais il a les yeux fermés, un léger filet
de sang coule le long de l'une de ses joues. Je me tourne vers Daniel : " Il est tombé dans les tombé
dans les pommes ? (lui) : peut -être dans le coma... (moi) : comment tu le sais ? (Boris) : on l'a giflé, il n'as pas réagit
et puis regarde, il saigne de l'oreille. (moi) : Comment il s'est démerdé pour
se faire çà ? (Maya) : il courait, il n'a pas fait
gaffe, et s'est pris les pied dans cette merde de rocher... (moi) : qu'est ce qu'il a d'autre ? (eux) : .... (moi) : Vous l'avez transporté sans
savoir si il avait des trucs de pétés ? (Lilou) : On a pas pris l'option
secourisme nous ! (moi) : il ne s'agit pas de secourisme,
mais de bon sens. (Susan) : il ne faut pas leur en
vouloir.. (moi) : ne pas leur en vouloir ? mais
ils se foutaient bien de moi lorsque j'ai pris cette option à la place du
latin. C'est sur c'est bien le latin : vous faîtes un beau voyage et en plus
vous pouvez matez des dites de culs quand la prof à le dos tourné. C'est sur
le latin peut faire passer prioritaire, mais il ne peut sauver des gens ! à la
rigueur leurs âmes, mais bon la messe depuis le début du XXème
siècle, est en français. C'est super le latin, mais désolé pour vous,
mais on vit dans le présent, où le futur par rapport à vos Romains!" Ils étaient tous là, autour de Lucas
et Moi. Je gueulais tellement fort que, par moment, ma voix couvrait le
tonnerre. Pendant cet court instant, on avait oublié les ombres, le médaillon,
tout. Nous étions les seuls au monde. J'aurais bien continué à brailler, mais
j'entendis une voix ensommeillée qui me dit : "on saura que tu déteste le
latin" On était tous là, interloqué comme
si il venait de ressusciter, je lui dit sur le ton de la conversation : "T'es pas d'accord avec moi ? (lui) : si, d'ailleurs, regardons si tu
peux faire un bon secouriste. Je crois que j'ai le bras gauche pété. (moi, après avoir palpé son bras) :
bravo, joli diagnostic mon cher confrère. (en m'adressant à tout le monde)
Vous voyez ? Le secourisme est utile. Bon assez rigolé, Lilou, passe moi trois
bande de la trousse à pharmacie et du désinfectant. (elle) : tout de suite. (moi) : Au fait c'est pas de l'oreille
qu'il saigne, mais de la tempe. Boris ? (lui) : Oui ? (moi) : va donc chercher deux morceaux
de bois long et droit. (lui) : pas de problème. (moi) : Daniel, où est passer Lionel ? (Daniel) : je n'en sais rien. (Moi) : Maya, fais un petit feu à
l'entrée de la grotte. (elle) : j'ai pas de briquet. (Daniel) : prend le mien. (moi) : Lucas, bon t'as pas de
fractures ouvertes. C'est déjà çà, mais je vais te faire une attelle. T'es
d'accord ? (Lui) : je te fais confiance..." Après lui avoir désinfecté sa plaie qu'il a au niveau de la tempe, je m'attaquais au plus dur : l'attelle. Celle ci doit être assez serrée pour maintenir les os, mais pas trop pour que le sang puisse circuler. Je lui dit que je n'ai pas réduit sa fracture car son avant-bras est brisé en deux endroits distincts. Je réussi à le faire rire quand je lui dit qu'il avait de la chance car il pourra continuer à filmer étant donner qu'il est droitier. Hé oui, dans sa chute, Lucas avait préféré protéger sa caméra que son bras. Chacun a un sens de priorité bien à lui. La suite sera publiée au courant du mois de Janvier
Narboune Nanah - Longinus |